6.12.10

FLASH SPECIAL : Coup de coeur et coup de com.

Perdu entre novembre et décembre, il fallait bien un énorme buzz pour vous faire patienter... Là je crois que j'ai trouvé : Aujourd'hui, le 06 décembre, c'est certes la St Nicolas,... mais c'est aussi et surtout :
LA DATE
D'UN GRAND RENDEZ-VOUS



.... avec vous, avec vous, avec vous, avec vous....
ENTRE NOUS ET LA GIRONDE !

Le Comité Départemental de Tourisme (CDT) continue à faire "le plein de plaisirs" en Gironde... Son site internet a fait désormais peau neuve : il nous convie à un grand rendez-vous ! avec Raphaelle Ricci, Steevy Boulay, Pierre Arditi, Vincent Moscato, Richard Virenque, Raymond Poulidor, Mathilde Seigner... et bien d'autres encore...
Ca mérite bien un gros coup de coeur et joli coup de com ! Bravo à toute l'équipe du CDT de la Gironde.
En attendant la suite...

1.12.10

Decembre 2010





" What do you want for Christmas ?
just a biscuit ! "








What do you want for Christmas ?”. -Andy MILLER, 2009



Cette année j'y ai réfléchi, et face à l'angoisse de ne rien avoir à répondre, j'ai choisi d'adopter un air désabusé. Ainsi, sous un look de vieux dandy anglais, à la question : "What do you want for Christmas ?" je n'hallucinerai pas, je ne serai même pas surpris... Aujourd'hui, je réponds directement : "just a biscuit !"... Mais pourquoi cette drôle de réponse ?


Un biscuit cru, cuit ou doré :
au moins trois bonnes raisons de le commander,
trois bonnes manières d'avoir plaisir à l'offrir.






"Le Haka Ka Maté des cookies"




Recevoir un "biscuit cru" peut paraître dénué d'intérêt, ...
... pourtant le cru c'est la pâte, la combinaison d'ingrédients fondamentaux qui construit.

Si nous étions nous-mêmes des "biscuits crus", comme des âmes vives ou des corps nus ? Au quotidien nous nous immergeons, nous nous imprégnons de mille choses extérieures. Avec le temps, nous durcissons, nous nous fortifions en prenant bien garde à ne pas vieillir, pour ne pas devenir immangeables.
Alors, si ce cadeau nous parait cru, c'est aussi un merveilleux potentiel, car le biscuit cru est le seul que l'on peut transformer, retravailler ou changer : il s'agit pour nous d'évoluer pour ne pas rassir au yeux des autres !
Enfin, avec ou sans biscuit, être cru, être vrai, apparaître honnête et sans banalité, plus près du nu que du très habillé, est comme un riche cadeau proche de toutes les vérités.




Heureusement pour nous, au matin de Noël, c'est souvent "biscuit cuit" qui sera nous attendre, dans nos souliers garnis, après la longue nuit...

En effet, il apparaît comme le plus beau des cadeaux pour celui qui a su attendre, sans broncher au milieu du conflit, sa "ration de biscuit". Il peut aussi être une délicate attention pour celui qui, comme Alain Gerbeault, peut continuer à se nourrir presque uniquement de biscuits, nourriture de corps et d'esprit à "la poursuite du soleil".
Certes, "biscuit cuit" peut également paraître désuet, tellement la joie est courte juste de le déballer, souvent lorsqu'on le mange vite sans l'apprécier... Mais c'est ce biscuit là qui reste le plus fragile : nourriture consistante à mouiller et piler, surtout pas le casser, quand après la cuisson viendra l'heure de le rouler... A l'image d'un ouvrage de porcelaine cuit au four laissé dans son blanc mat, sans peinture ni couverte, nous sommes parfois biscuit face aux aléas de la vie...







"Elle vendait des petits gâteaux" de Felix MAYOL, 1919
chanté par Barbara avec une pensée pour Camille...


Aussi bien cru que cuit, nous pourrions, sur lui, avec cette chanson, maintenant avoir tout dit, en passant sous silence les désirs ou envies de tremper son biscuit...


Or, c'est là que de bons matins on pourrait très bien rencontrer le train des trois fameux rois mages portant de délicieux et fins biscuits dorés : présent suprême réservé uniquement aux plus sages d'entre nous. Mais, attention car si la vie n'est pas un biscuit, pour les plus chanceux il faut donc toujours se méfier de cette surprise dorée qui comme une friandise à regarder peut aussi bien s'avérer être un danger à éviter.


Ouf ! ! ! La féerie de Noël nous donne un temps de pause, une trêve de fin d'année où il nous est permis de profiter de l'insouciance, le tout en plongeant la main dans une énorme boite de biscuits, de toutes les couleurs, de toutes les formes :











  • En forme de Zoom : à la fin d'une page nous nous demandons ce qui nous motive à passer à la suivante. De même, une année qui se termine peut nous emmener à décrire ce devenir qui nous pousse à agir (billet d'humeur).

  • En forme de Veille, couleur "DOC" : cap sur "l'architecture modulaire : une nouvelle aventure avec Aquitanis" - Rosa Parks + Sylvania - (retour sur la conférence Arc en Rêve, du 18 novembre 2010).

  • En forme de Veille, couleur "COM" : retour sur le forum des études et des métiers de la communication (le 16 décembre 2010 à l'IUT de Tours) et sur le dernier Cap Com 2010 (les 1 et 2 décembre 2010 à Reims).

  • En forme de Coeur : A Bordeaux c'est enfin Noël, entre plumes et goudron, cirque et agitations, Roméo & Juliette, cotillons et trompettes : la culture est au coeur de la fête !

  • Un Portrait du Mois en forme de quoi ? Assurément en forme de choux, s'il fallait dresser le portrait de l'homme à la tête de choux - coeur de Gainsbourg, voix de Bashung, corps et entrechats de Gallotta. (du 9 au 11 décembre 2010 au TNBA - Bordeaux).

  • Perspectives entre gâteau et cadeau : découvrez "Maisons de Gironde, tome 2", dernier opus de la collection "Architectures et Paysages de Gironde". Un ouvrage co-édité par le CAUE de la Gironde et le Festin. (lancement le 4 décembre 2010 à Bordeaux).








Et si cette année les cadeaux c'étaient tout simplement nous
"Nous sommes des biscuits cassés de la boîte à gâteau
De vrais marginaux dans cette longue énigme
Attention à ne pas nous écraser, dans ces mains affamées
Attention à ne pas nous presser,
dans cette belle histoire d'amour"



joyeux noël

14.11.10

Novembre 2010
"de l'hiver à l'automne, moi je veux être pété de rire ! ! !"


Les souvenirs sont là, présents...
... pour le reste :



Bienvenue chez Peter Pan !

Au fond, pourquoi disons nous : "quoi de plus beau que le regard d'un enfant" ?... Peut-être parce qu'il parait pur, neuf et naturel ou "non dénaturé". Paradoxalement, cet enfant est encore vide d'expérience !
Bientôt, il grandira et en répondant à une théorie essai-erreur, il écrira une histoire, se construira un vécu et gagnera ainsi sa propre expérience.
Bien évidemment sa croissance, son développement physique et son épanouissement moral le rendra plus fort, plus réfléchi, avec une réelle autonomie d'acteur stratégique : il aura désormais les armes pour construire sa vie.



"Devenir grand", la Grande Sophie, 2006

Toutefois, en grandissant, en gagnant en maturité, l'enfant sera aussi moins spontané : il connaîtra alors les doutes, l'incertitude, les peurs... et bien d'autres sentiments. Des sensations étranges, fruits de cette même croissance : le remords, le regret, les obligations (celles liées à la morale, au cadre social, au rapport à la norme...).

Ainsi, si la croissance de l'être et "l'âge de l'homme", contribuent à fixer les fondamentaux d'une société normée, ne serait-il pas plus intéressant de pratiquer le lâcher prise ? Pour cela peut-être pourrions-nous puiser dans nos souvenirs et retrouver seulement l'enthousiasme de l'enfance. Il s'agit juste de s'appuyer sur cet âge d'or , celui où tout reste possible, celui où nous pouvions imaginer, celui où nous pouvions croire et celui avec qui il nous est toujours possible de croire...

Mais si le retour à l'enfance est un étrange pari, s'il traduit la complexité d'un défi quotidien, il suppose également un choix clair et définitif : faut-il rester jeune pour ne pas grandir, stagner et ne pas évoluer ?... ou au contraire,... faut-il plonger dans l'enfance pour se ressourcer et revenir pour oser créer ? Difficile de le savoir !

Au fond cette jeunesse endiablée nous permet de percevoir la vie différemment, en nous démarquant, ou à l'image de ce programme, en marquant les autres d'une étonnante singularité :

  • Coté Zoom : Si le pays imaginaire naît souvent des rêves d'enfants, la ville et son image ont aussi leur histoire et leur désir utopique. (Autour d' "Imaginaire de la ville", Conférence CUB Métropole 3.0 - mai 2010).
  • Veille Doc : la Compagnie Montalvo Hervieu revient avec "La la la Gershwin", un hommage dans un univers jubilatoire, ludique et poétique mêlant danse et projections vidéos. (20 octobre 2010, Théâtre Femina, Bordeaux).
  • Veille Com : Etat des lieux sur l'innovation 3D, question de communication ou défi de générations ?
  • Côté Coeur : avec dans les yeux les étoiles du Cirque Eloize, découvrez une "ID" vraiment géniale - une parenthèse ludique, jeune et urbaine, des lieux de danses, de rencontres, de passages, un monde de graffiti perdu entre break dance et hip-hop - . (12 & 13 novembre 2010, Olympia d'Arcachon).
  • Portrait du Mois : Sous fond de remaniement, depuis quelques jours la Ministre ne répond plus ! ! ! Mais avant de partir, Rama Yade a quand même souhaité écrire une "lettre à la jeunesse".
  • Perspectives : à travers son journal n°7, le CAUE répond à sa mission de sensibilisation en vous invitant à "apprendre à voir plus loin".



Zaz, "je veux", 2010

L'enfance ? oui, mais dans la réalité c'est plutôt :


"Bienvenue dans ma tribu
On est mieux sous mon tipi que dans le carré VIP.
Entre nous ! C'est pas tordu.
Y'a pas de Sioux !... Entendu.
Dans ma tribu, on est nature avec nos poteaux...
Avec nos poteaux sans torture. "

Za7ie

15.10.10

Octobre 2010 - ZOOM DU MOIS
Comment considérer ou/et réconcilier l'espace urbain
entre les autres et moi ?...
Si c'était tout l'enjeu de la ville de demain ?



"la ville créative entre le local et le global"
ou tout l'enjeu de la culture aujourd'hui

PRÉAMBULE : "La question de la création se place au coeur des enjeux d’attractivité territoriale et au carrefour entre économie et modes de vie. Elle est l’objet de discussions fortes notamment autour d’une lecture critique de l’ouvrage de Richard Florida. Un modèle pour les villes est en train de s’écrire. La question se pose d’y adhérer ou de s’en démarquer. La place, les lieux, les formes de la culture métropolitaine est ainsi interrogés..."

Retour sur la thèse de Frédéric Martel, écrivain journaliste, présent le 7 octobre 2010 au Rocher Palmer dans le cadre du cycle de conférences "Bordeaux Métropole 3.0" organisé par la CUB.

La mondialisation de la culture

Pour parler culture, il faut oser : oser penser, oser créer, et parfois même oser déranger... Dans son dernier ouvrage, "Mainstream", Frédéric Martel revient sur l'histoire de la Culture et de ses avancées, pour aborder la question de la créativité ou celle d'une culture mondialisée : celle qui "plaît à tout le monde".


Dans cet ouvrage, il nous invite à sortir du modèle franco-français et à limiter toute politisation de la culture. Il nous convie finalement à changer notre perception, à évoluer au contact du terrain, sortir de notre "chez soi riquiqui" : pour se tourner vers les industries créatives.
  • La notion d'industries créatives est une excroissance naturelle de ce que T.W. Adorno et M. Horkheimer nommaient les industries culturelles. Vers 1940, avec l'École de Francfort, ils envisagent la perte d'individuation et l'aliénation dont les masses pâtissent dans l'industrialisation qu'organisent les médias. Ils restent donc interdits face au type d'activité social-historique que les contenus culturels finissent par imposer.
  • Les industries créatives se superposent bientôt au débat sur la "culture de masse". R. Barthes au début des années 1960 rejoint alors la pensée de l’École de Francfort en opposant culture de masse et culture cultivée.
  • En 1962, E. Morin soutient que la culture de masse n’est pas une forme de culture inférieure ou dégradée, mais plutôt issue de représentations du monde trouvant sa place entre dimensions individuelles et collectives, réelles et imaginaires.
  • Plus tard, H. Arendt en 1972, soutient l’idée que la culture de masse n’est pas une forme dégradée de la culture du fait de son extension ; elle le devient «quand ces objets eux-mêmes sont modifiés, réécrits, condensés, digérés, réduits à l’état de pacotille pour la reproduction et la mise en image».

Frédéric Martel fait aussi état d'une peur des industries culturelles ou des produits culturels. En effet, aujourd'hui c'est le temps de la circulation des services, des flux, de la multiplication des formats par les start up... Cela peut aussi induire un retour de l'opposition entre la culture et le divertissement, une culture légitime et une culture populaire.

Cependant, les industries culturelles et leurs produits permettent également une "ouverture du spectre culturel", l'arrivée de nouvelles offres : jeux vidéos, objets virtuels et numériques, images inédites... autant de regards mondialisés à veiller et à surveiller.

MAINSTREAM, Retour sur 5 enjeux d'une enquête
sur une culture qui plaît à tout le monde


1) Où se trouve la culture globale ?
Si la culture nationale (française) marquée par la musique, l'information, la publicité, les séries télé, l'édition, le cinéma... existe et se porte bien ; le mainstream évoque une culture mondialisée qui tend à remplacer toutes cultures voisines. Au coeur d'un paradoxe se dessine alors une mondialisation de la culture qui tend à imposer le modèle américain ou japonais. La culture globale reste marquée par cette mondialisation mais n'exclut pas pour autant les cultures nationales.

2) Aucunes exclusions culturelles...
Face à une définition complexe et plurielle de la "culture globale", il serait naïf de croire à la mort des cultures locales et nationales. C'est ainsi que la Chine, le Brésil, l'Argentine, l'Inde... et d'autres pays émergeants nous proposent leurs cultures, leurs médias, leurs visions du monde, autant de richesses à prendre en compte dans ce sentiment de culture globale.

3) La mondialisation et le numérique
* Les pays émergeants voient dans le numérique : une fusion (une possibilité d'union), des médias d'opportunités qui font naître l'espérance, l'espoir d'acquérir un rôle, une place, une position mondiale.
* Les "pays riches" connaissent le pouvoir du numérique, et peuvent parfois percevoir Internet comme une menace. Un outil qui pourrait les affaiblir, du moins diminuer leur importance dans la stratégie mondiale.

4) La contre-culture : entre "sub culture" et mainstream
... Et si finalement la frontière entre culture populaire et légitime n'existait plus, si nous acceptions l'ouverture à la création et le principe de diversité culturelle : il nous faudrait défendre l'influence de "la valeur culture", celle qui nous permet de construire l'identité de la France ; pour "que la France se nomme diversité".

5) La Révolution Numérique : l'anti loi Hadopi
Dans les prochaines années, la culture est emmenée à évoluer :
* 1ère hypothèse : selon un aspect strictement économique.
* 2ème hypothèse : en suivant les innovations techniques, avec les opportunités offertes par le web 2.0
*3ème hypothèse : en prônant la mobilité, le mouvement, le changement culturel...


Dans "Mainstream" Frédéric Martel serait favorable à une évolution de la culture, mais également d'accord pour continuer à lutter pour le maintien d'une culture nationale...


Pour l'heure, c'est à nous de nous intéresser....
de RÉFLÉCHIR, TRAVAILLER et SE BATTRE pour la culture.

6.10.10

Octobre 2010 - Perspectives

Une sensibilisation à l’urbanisme durable

le 7 octobre de 9h à 17h
à la maison de la promotion sociale
d’Artigues-près-Bordeaux



Le CAUE (Conseil d’Architecture d’Urbanisme et d’Environnement) organise cette journée à destination des élus et des techniciens des collectivités locales, afin de présenter les grands principes de l’Approche Environnementale de l’Urbanisme (AEU) et quelques exemples Aquitains.


Cette journée sera l’occasion :
  • de revenir sur les fondements du Grenelle II
  • de présenter la démarche, la mise en place, le dispositif AEU : une méthode adaptable à toutes les étapes du projet.
  • de partager des expériences à différentes échelles de territoires, avec une grande diversité d’acteurs.

L’urbanisme durable
une nouvelle façon de penser le projet d’aménagement


Aujourd’hui, il est de moins en moins concevable d’initier un projet d’aménagement sans prendre en compte sa dimension environnementale, sociale, économique… sans envisager une vision transversale traduisant une perception d’ensemble.


Consulter le programme détaillé sur : http://www.cauegironde.com/

4.10.10

Octobre 2010

"Au nom des autres...."

"Je vous avoue
qu'il m'est venu l'idée
d'écrire sur moi !...
"



Pourquoi faire ?... Pour sans doute permettre le"mois du moi" ; au delà du simple élan narcissique, pour réfléchir, se rappeler et se retrouver... Pour retourner à l'essence même de ce qui fait "moi" et arriver à concevoir que l'information comme la communication s'intéressent à l'humain, l'individu ou la personne : l'intérêt qui invite à aller vers "toi" avant de revenir à "moi". Se souvenir que porter un regard sur soi, c'est avant tout comprendre l'autre, intrinsèquement, dans son ensemble, au coeur même de son rôle social et sociétal.
Ainsi, être ici "au nom des autres", c'est essayer de comprendre chacun, car l'analyse du "je" se défend et se décline très souvent à travers le "nous".

"... Je crois pourtant
que j'ai tout le temps
pensé à vous !"




"Poursuivre les efforts, surmonter les épreuves,
trouver la stabilité ne se fait pas tout seul..."


Croire que le "Zen News" aurait changé de cap, en devenant plus personnel, voire plus intime pourrait être une erreur. Outre le fait, qu'il soit naïf de penser que le choix de dédier un tel support à l'info-com est totalement objectif - la position du chercheur est toujours plus ou moins teintée d'intérêts personnels -, l'idée d'évoquer la possibilité du "moi" peut tout à fait renforcer le sentiment du "nous".

C'est d'ailleurs ici que nous nous retrouvons, dans une démarche plurielle que NOUS souhaitons collective et collaborative, à travers ce tout nouveau programme du mois qui évite de sombrer dans la contemplation mais essaye de répondre à la promesse d'un "intime collectif" :
  • Côté Zoom : comment considérer ou/et réconcilier l'espace urbain entre les autres et moi ?... Si c'était tout l'enjeu de la ville de demain : "la ville créative entre le local et le global". Retour sur la thèse de Frédéric Martel, écrivain journaliste, présent le 7 octobre 2010 au Rocher Palmer dans le cadre du cycle de conférences "Bordeaux Métropole 3.0" organisé par la CUB.
  • Côté Coeur : Et si nous partions en Australie ou quand la blogosphère se met une nouvelle fois en route : "Odile, Pierre et Biloute into the wild..." C'est notre coup de coeur du mois et nous leur souhaitons bon voyage !
  • Côté Com : découvrons ensemble de nouveaux acteurs : AQUINUM, l'association des professionnels du numérique en Aquitaine.
  • Côté Doc : "Patrimoine, numérisation et accès aux savoirs" : quand l’innovation dynamise la diffusion et la médiation du patrimoine immatériel (écrit, son, image et image 3D). Retour sur le colloque Ecla / AEC du 21 octobre 2010.
  • Portrait du mois : entre design, programmation et construction, découvrons de "superficial surfaces" qui peuplent l'univers de Lorenz DEXLER, paysagiste berlinois de l’agence TOPOTEK 1. Retour sur la conférence organisée par "Arc en Rêve" dans le cadre de la manifestation de "PanOrama 2010" en octobre 2010, en Gironde.
  • Perspectives : Cap sur "l'urbanisme durable : une nouvelle façon de penser le projet d'aménagement" avec le CAUE de la Gironde - Journée d'information du 6 octobre 2010 -.

Solo piano de Tigran Hamasyan


"Si seul est souvent rien,
ensemble peut être tout.
Qu'on se pense sans lien,
ou encore riche de vous.
Chacun peut choisir bien,
ou courrir comme un fou :
si c'est pour une bonne cause
vibrer au nom des autres !"